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Bon et Joyeux anniversaire Elisa
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Bon et Joyeux anniversaire Elisa
Poul-Fetan, un village breton d'autrefois... Ce petit village du XVIème siècle dont les maisons ont été restaurées constitue un exemple parfait d'architecture rurale ; ses toits de chaume, ses portes en ogives, ses escaliers extérieurs et ses cheminées massives sont caractéristiques des maisons bretonnes. Poul-Fetan trouve son origine dans la présence d'une source, " Poul " qui en Breton signifie lavoir et la source " Fetan " qui ont donné leur nom à ce village.
Au travers des siècles, le village abritait 4 à 5 familles. Habité jusqu'en 1970 , il fut ensuite acquis par la Commune de Quistinic, qui décida d'engager un vaste programme de restauration et de lancer par la suite le projet de sa mise en valeur touristique, avec le concours de bénévoles de la commune. |
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je viens de recevoir un Email de yvette ! si ce n'était pas un spam
j'aurais dit qu'elle nous fait un coucou de la haut
ça nous permet a tous d'avoir une pensée pour cette coquine qui nous manque a tous
je suis triste , et je n'ai pas les mots pour exprimer ma peine
Yvette toi qui nous a fait tant rire , j'avais surtout envie qu'on ce souvienne de toi tel que tu l'étais
tout d'abord pour ceux qui n'ont pas accés a FB , je vous donne lecture des mess échangé avec freddy son mari
je n'ai pas de réponse a son accident et lui non plus
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Yvette a pris son dernier envol pour rejoindre d'autres amis ! surement qu'ils devaient manquer d'animation la haut
on n'oubliera pas sa belle et pétillante humeur de notre coté
bisous Yvette
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Radiocom 2000
Comment évoquer l'histoire du mobile sans parler du système Radiocom 2000 ? Issu de la recherche française, ce standard lancé en 1986 est le premier de la téléphonie mobile moderne, on parlera d'ailleurs de 1G. Les combinés (mais peut-on parler de combinés ?) sont fabriqués par Matra, Alcatel puis Sagem et sont dotés de batteries rechargeables au Nickel-Cadmium. Ils utilisent la bande des 400 Mhz.
La grande nouveauté est la notion de hand over : les fréquences sont attribuées au sein d'une "cellule", c'est à dire une zone géographique délimitée par la portée de l'émission radio. Lorsqu'un mobile sort de la zone de couverture radio, il peut accrocher sans coupure une autre cellule. D'où le nom de téléphone cellulaire. Mais il faut bien avouer que le système n'était pas au point, les coupures en déplacement étaient fréquentes.
Vu le volume de la bête, ces terminaux sont le plus souvent placés dans les voitures des utilisateurs.
En France, c'est France Télécom qui est le premier à proposer des abonnements pour ce service mais les prix prohibitifs (les appels reçus étaient facturés !) cantonnent Radiocom 2000 aux populations les plus aisées.
Par “mobile” comprenez tout de même qu’il s’agissait de téléphones radio embarqués dans des voitures, pas vraiment identiques à notre système GSM… Mais tout de même, pour l’époque il s’agissait d’une petite révolution pour le grand public ( fortuné).
Téléphonie mobile : 12 bons réflexes à adopter pour limiter son exposition
Source: – www.criirem.org
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Alexander Graham Bell obtient aux États-Unis un brevet d'invention pour le téléphone.
Il fut le premier le 14 février 1876 à déposer le brevet du téléphone. Le crédit de cette invention lui a cependant été retiré, la Chambre des représentants des États-Unis ayant statué en juin 2002 qu'Antonio Meucci était le véritable inventeur du téléphone : Bell lui en avait volé la paternité.
*les WC ou toilette ça na pas été toujours ça !!!
tien JP !!*
*a la compagne il yavait ça !!
*mais en ville avant le tout a l'égout c'était le pot de chambre **
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ça c'est une toupine, et dans laquelle on ne fait rien cuire.
Et oui, c'est un vase de nuit, l'équivalent du pot de chambre de votre enfance.
Ce qui a beaucoup marquée , c'était le mode de collectage des dites toupines.
Il faut se souvenir que jusqu'au milieu des années 50 du siècle dernier, peu de ville française possédaient de système de tout à l'égout. Alors!!!
...Le Torpilleur.
Je vous laisse imaginer le détail des opérations.
Ainsi que la saveur, j'allais dire le fumet, des anecdotes racontées par les anciens.
Les disputes entre les femmes et les sergents de ville chargées de faire respecter les heures de dépots des toupines et l'interdiction de les laver aux fontaines.
La nuit, il fallait être très prudent en circulant dans les rues sombre. Un certain nombre de nos concitoyens ayant pris l'habitude de vider leurs toupines par les fenêtres.
Oh, ils prévenaient d'un vigoureux: "Passa ren?"
Seulement, souvent l'avertissement arrivait en même temps que giclait sur le pavé le contenu de la toupine.
Allez, je me replonge dans ma daube de poupre.
Bon appétit.
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Le Torpilleur des rues | |
29-08-2007 Histoire Lorsque La Seyne devint une cité urbaine, et qu'il fallut procéder chaque jour à l'évacuation des ordures et des vidanges, on vit s'aligner sur les trottoirs devant chaque porte, à l'heure du laitier, les poubelles voisinant avec les toupines. C'étaient des véhicules différents qui se chargeaient d'enlever le contenu des unes et des autres. Ils ne circulaient pas aux mêmes heures et les toupines devaient être sorties peu avant le passage du torpilleur, au petit matin. Le ramassage des ordures ménagères s'effectuait au moyen d'un tombereau tiré par un cheval et le préposé, nanti d'une énorme pelle plate et d'un balai de bruyère, devait vider les poubelles et enlever les petits tas d'ordures accumulés par les balayeurs de rue bien avant son passage.
Le torpilleur, véhicule hippomobile au XIXe siècle, devint un engin motorisé dans les quelques années qui précédèrent la mise en service de l'Émissaire commun. Mais pourquoi l'appelait-on ainsi ? Probablement parce qu'on le fuyait comme un navire aurait fui face à la menace d'une torpille. La puanteur que répandait ce véhicule constituait une telle agression qu'on le considérait comme un danger redoutable, surtout quand il venait à la rencontre d'un piéton. Ce dernier n'avait d'autre recours que de tourner les talons, en pressant son mouchoir sur ses narines. On disait alors : " Attention, ça torpille ! " Il arriva que pour éviter cette mauvaise rencontre, des travailleurs ratent le départ du bateau ou du tramway qui les conduisait à leur atelier ou à leur bureau. On voit donc que ce maudit véhicule avait dans la vie quotidienne des répercussions multiples et fort désagréables. Les toupines vernies, couvertes obligatoirement d'un disque en bois ou en métal, portant un bouton sphérique en son centre, attendaient sagement le passage du préposé municipal qui s'annonçait de loin par des jurons sonores. Son cheval n'allait jamais à la cadence qu'il souhaitait. Parfois, des récipients avaient été renversés par de mauvais plaisants, ce qui ajoutait à la colère du vidangeur et provoquait en lui des poussées d'exaspération. Ou alors, des retardataires le hélaient, leur toupine à la main. Il leur répliquait violemment : - Vous attendrez demain ! - Mais j'en ai qu'une, de toupine ! - Allez la vider vous-même chez Gamel ! Pour la petite histoire, il faut savoir que les Gamel étaient des éleveurs de cochons établis au quartier Saint-Jean. Propriétaires de vastes terrains entre la route d'Ollioules et l'Hôpital, ils recevaient la vidange que l'on y épandait. Les émanations qui se mêlaient à celles des porcheries n'avaient pas fait de ce quartier un endroit où l'on flâne. Nos concitoyens avaient donc fait leur l'expression : Sènté Gamèou (ça sent Gamel) énoncée chaque fois qu'une odeur nauséabonde parvenait à leurs narines.
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http://maprovence.skynetblogs.be/post/4914373/le-torpilleur-des-rues*
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Le deuxième classe Auguste Thin du 132e régiment d'infanterie de ligne, alors âgé de vingt et un ans, avait été chargé de désigner, le 8 novembre 1920, le soldat inconnu qui reposera sous l'Arc de Triomphe.
Huit corps de soldats ayant servi sous l'uniforme français mais qui n'avaient pu être identifiés ont été exhumés dans les huit régions où s'étaient déroulés les combats les plus meurtriers : en Flandres, en Artois, dans la Somme, en Ile-de-France, au Chemin des Dames, en Champagne, à Verdun et en Lorraine.
Le 9 novembre 1920 les huit cercueils de chêne ont été transférés à la citadelle de Verdun, dans une casemate où ils ont été plusieurs fois changés de place pour préserver l'anonymat de la provenance de chacun d'entre eux.
Le 10 novembre, les cercueils ont été placés sur deux colonnes de quatre dans une chapelle ardente dont la garde d'honneur fut confiée à une compagnie du 132e régiment d'infanterie.André Maginot, ministre des Pensions, s'est avancé vers un des jeunes soldats qui assurait la garde d'honneur, Auguste Thin, engagé volontaire de la classe 1919, fils d'un combattant disparu pendant la guerre, pupille de la Nation.
Il lui tendit un bouquet d'oeillets blancs et rouges, et lui exposa le principe de la désignation : le cercueil sur lequel ce jeune soldat allait déposer ce bouquet serait transféré à Paris et inhumé sous l'Arc de Triomphe. Il me vint une pensée simple. J'appartiens au 6e corps. En additionnant les chiffres de mon régiment, le 132, c'est également le chiffre 6 que je retiens. Ma décision est prise : ce sera le 6e cercueil que je rencontrerai. Témoignage d'Auguste THIN
Partant par la droite, Auguste Thin a fait un tour, puis il a longé les quatre cercueils de droite, a tourné à gauche, est passé devant le 5e et s'est arrêté devant le 6e cercueil sur lequel il a déposé son bouquet et s'est figé au garde-à-vous. Désormais le souvenir de la Première Guerre mondiale associant patriotisme, héroïsation des combats militaires, exaltation de la victoire et deuil collectif sera associé à la tombe du soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe.
Lazare Ponticelli, le dernier poilu de la Grande guerre, est décédé à l’âge de 110 ans, a annoncé mercredi l’Elysée.”J’exprime aujourd’hui la profonde émotion et l’infinie tristesse de l’ensemble de la nation alors que disparaît Lazare Ponticelli, dernier survivant des combattants français de la Première guerre mondiale”, a déclaré le président Nicolas Sarkozy, dans un communiqué.
“Je salue l’enfant italien venu à Paris pour gagner sa vie et qui choisit de devenir Français, une première fois en août 1914, lorsque, trichant sur son âge, il s’engagea à 16 ans dans la Légion étrangère pour défendre sa patrie d’adoption. Une deuxième fois en 1921, lorsqu’il décida de s’y établir définitivement”, a ajouté M. Sarkozy
Lazare Ponticelli, le dernier poilu de la Grande guerre, est décédé à l’âge d
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*il y a eu les morts ! mais aussi ceux qui sont resté handicapé !
LES GUEULES CASSEES
Les retards dans les évacuations des blessés,
imputables à l'absence d'anticipation,
de préparation et d'expérience
du Service de Santé face à la guerre moderne,
ont pour les blessés au visage de lourdes conséquences.
Aux complications immédiates, hémorragies et asphyxie,
les blessés maxillo-faciaux se trouvent confrontés
à deux types de complications secondaires :
les constrictions et les pseudarthroses des mâchoires
(consolidation en mauvaise position des fractures).
La plupart des blessés au visage présentaient
à leur arrivée dans les hôpitaux spécialisés,
situés à l'arrière du front, ces types de complications.
On imagine sans peine l'état d'esprit dans lequel
se trouvait ces garçons, des adolescents pour la plupart.
Une vie déchirée pour l'amour d'un pays
Honneur à ces hommes0